Une pousse venue de Bretagne
Une pousse venue de Bretagne
Une personne de bretagne m'a offert un petit pot avec tois pousse de cette plante
qui a grandi maintenant mais c'est quoi au juste ?
qui a grandi maintenant mais c'est quoi au juste ?
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- Olivier G
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Re: Une pousse venue de Bretagne
Salut,
Ca ressemble à Physalis sp., par exemple Physalis alkekengi, fréquent en culture.
Simple suggestion, reviens ici quand il y aura des fleurs, ça sera plus simple
Ca ressemble à Physalis sp., par exemple Physalis alkekengi, fréquent en culture.
Simple suggestion, reviens ici quand il y aura des fleurs, ça sera plus simple

Re: Une pousse venue de Bretagne
Bonjour,
Le plus simple, c’est de demander à la personne : c’est quoi, vos plantes ? en breton ! Un Physalis ne passera pas l’hiver, il y a peu de chance de voir des fleurs.
Le plus simple, c’est de demander à la personne : c’est quoi, vos plantes ? en breton ! Un Physalis ne passera pas l’hiver, il y a peu de chance de voir des fleurs.
Re: Une pousse venue de Bretagne
Physalis alkekengi ne gèle pas. Par contre P. peruvianus oui ! aussi communément appelé coqueret du Pérou et je pense que c'est de cette espèce qu'il s'agit. Par contre elle n'est pas en avance du tout, tu ne pourra pas goûter ses fruits savoureux.
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flore alpine
Re: Une pousse venue de Bretagne
rumi74 a écrit :Physalis alkekengi ne gèle pas.
Non, c’est une plante vivace, mais elle gèle. L’artichaut est vivace, mais il gèle. Pour protéger ces plantes des frimas hivernaux, il est conseillé de les pailler. Si la température négative descend un peu trop bas, la souche gèle et il n’y a pas de repousse, voilà ! toutes les plantes gèlent
Clément
Re: Une pousse venue de Bretagne
Pour l'artichaut, je suis d'accord. Par contre, le physalis alkekengi résiste très bien dans ma région sans protection et ça peut descendre parfois à -20°C. Cependant toute la partie aérienne disparait l'hiver, c'est peut-être ce que tu voulais dire par vivace qui gèle.
A+
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flore alpine
Re: Une pousse venue de Bretagne
Résister au gèle ne veut pas dire que la plante ne gèle pas. Le blé résiste à moins 22, après il gèle et c’est fini ! Ce n’est pas une plante vivace. Certaines plantes de montagne ne résistent pas au gel dans les plaines de basse altitude. Pourquoi ? En montagne, elles sont protégées par la neige, le taux d’humidité est très bas, plus d’autres facteurs. Elles ont un voile d’hivernage.
Dans les plantes vivaces, en exemple, il y a les liserons, à la première gelée sévère, la partie aérienne va geler, aux beaux jours, il réapparaît. La fougère mâle, D. filix-mas, peut subir une gelée de printemps et toutes les nouvelles frondes vont disparaîtrent. Quelques jours plus tard de nouvelle vont apparaîtrent, c’est une plante vivace. Si la température du sol descend très bas, le rhizome gèle et la plante disparaît (plante en pot.)
Dans les plantes vivaces, en exemple, il y a les liserons, à la première gelée sévère, la partie aérienne va geler, aux beaux jours, il réapparaît. La fougère mâle, D. filix-mas, peut subir une gelée de printemps et toutes les nouvelles frondes vont disparaîtrent. Quelques jours plus tard de nouvelle vont apparaîtrent, c’est une plante vivace. Si la température du sol descend très bas, le rhizome gèle et la plante disparaît (plante en pot.)
Re: Une pousse venue de Bretagne
Bonsoir,
C'est quand même un peu compliqué ta théorie de la rusticité.
C'est quand même un peu compliqué ta théorie de la rusticité.
flore alpine
Re: Une pousse venue de Bretagne
Bonjour,
J’ai vu des arboriculteurs vaporiser de l’eau venant d’un pompage, sur des arbres fruitiers, pour protéger, au printemps, les plantes du gel. Les bourgeons à fleurs se retrouvent totalement emprisonnés dans la glace et ils ne gèlent pas. Ce ne sont pas les qualités isolantes de la glace qui protège la fleur du gel, mais les particularités de l’eau. Celle-ci dégage de la chaleur lors de son changement de phase de l’état liquide à l’état solide. Un gramme d’eau en se congelant produit 334 Joule, ce qui fait autant d’énergie, qu’il faut pour amener ce même gramme d’eau de 0 à 80 degrés. Une grande partie de l'énergie dégagée est dispersée dans l’atmosphère, ce qui reste est suffisant pour maintenir le végétal à une température d’environ 0. Conclusion : pas de gel.
J’ai vu des arboriculteurs vaporiser de l’eau venant d’un pompage, sur des arbres fruitiers, pour protéger, au printemps, les plantes du gel. Les bourgeons à fleurs se retrouvent totalement emprisonnés dans la glace et ils ne gèlent pas. Ce ne sont pas les qualités isolantes de la glace qui protège la fleur du gel, mais les particularités de l’eau. Celle-ci dégage de la chaleur lors de son changement de phase de l’état liquide à l’état solide. Un gramme d’eau en se congelant produit 334 Joule, ce qui fait autant d’énergie, qu’il faut pour amener ce même gramme d’eau de 0 à 80 degrés. Une grande partie de l'énergie dégagée est dispersée dans l’atmosphère, ce qui reste est suffisant pour maintenir le végétal à une température d’environ 0. Conclusion : pas de gel.
- sylvaion
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Re: Une pousse venue de Bretagne
c'est un peu tout ca le meme principe, qu'on observe quand on fait un igloo.
la temperature stagne aux alentour de 0 °
quant a la rusticite des plantes c'est tres variable selon les conditions d'humidités (principalement) , de sol ou de fragilite de la plante
et c'est bien vrai que beaucoup de plantes de montagnes sont gelives, ce qui est tres surprenant et peuvent causer alors probleme lors d'adaptation de ces plantes en plaine.
la temperature stagne aux alentour de 0 °
quant a la rusticite des plantes c'est tres variable selon les conditions d'humidités (principalement) , de sol ou de fragilite de la plante

et c'est bien vrai que beaucoup de plantes de montagnes sont gelives, ce qui est tres surprenant et peuvent causer alors probleme lors d'adaptation de ces plantes en plaine.