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[ludo]

Raté pour les ..., on trouve quand même

[Titos]

Eh oui, la plante a aussi sa porte et son poinçonneur. Il y a même une chanson où ses fleurs sont blanches.

[oss007]

Bonjour,

D'accord, d'accord: Les lilas de Louis Aragon.

[centrer]Je rêve et je me réveille
Dans une odeur de lilas
De quel côté du sommeil
T'ai-je ici laissé ou là

Je dormais dans ta mémoire
Et tu m'oubliais tout bas
Ou c'était l'inverse histoire
Etais-je où tu n'étais pas

Je me rendors pour t'atteindre
Au pays que tu songeas
Rien n'y fait que fuir et feindre
Toi tu l'as quitté déjà

Dans la vie ou dans le songe
Tout a cet étrange éclat
Du parfum qui se prolonge
Et d'un chant qui s'envola

O claire nuit jour obscur
Mon absente entre mes bras
Et rien d'autre en moi ne dure
Que ce que tu murmuras[/centrer]

Amicalement.

[oss007]

Bonjour,

Alors N°11 avec plus de ... : on cherche un poète et une plante
Amicalement.

Les trois premiers vers du poème:

[centrer]... au ... dur, à l'... opaque et ...
S'ouvrant avec ... comme celui d'un ...,
Ton ... ... reluit ainsi qu'un ... ...[/centrer]

[Blavo]

Fleur sans odeur, tel du marbre. Ce n'est ni de l'encens ni du jasmin mais en pousse -t-il sur saturne ?.

[oss007]

Bonsoir,

Quelques trous en moins...
[centrer]... au sein dur, à l'oeil opaque et ...
S'ouvrant avec ... comme celui d'un boeuf,
Ton ... torse reluit ainsi qu'un ... neuf.[/centrer]

C'est très joli Henri.

Amicalement.

[Blavo]

Je l'ai toujours classé dans ma catégorie des poêmes tristes mais , pourtant , c'est vrai que c'est beau.

[oss007]

Bonjour,

Suite du N°11:

Voici les trois premiers vers au complet pour retrouver le poète et la fleur qui n'apparaît qu'en fin de poème...

[centrer]Courtisane au sein dur, à l'oeil opaque et brun
S'ouvrant avec lenteur comme celui d'un boeuf,
Ton grand torse reluit ainsi qu'un marbre neuf.[/centrer]

Amicalement.

[daltonien]

VERLAINE : Un dahlia (Poèmes saturniens/caprices 1866)

Un dahlia

Courtisane au sein dur, à l'oeil opaque et brun
S'ouvrant avec lenteur comme celui d'un boeuf,
Ton grand torse reluit ainsi qu'un marbre neuf.

Fleur grasse et riche, autour de toi ne flotte aucun
Arôme, et la beauté sereine de ton corps
Déroule, mate, ses impeccables accords.

Tu ne sens même pas la chair, ce goût qu'au moins
Exhalent celles-là qui vont fanant les foins,
Et tu trônes, Idole insensible à l'encens.

— Ainsi le Dahlia, roi vêtu de splendeur,
Élève sans orgueil sa tête sans odeur,
Irritant au milieu des jasmins agaçants!

[oss007]

Bonsoir,

Bravo biloute pour le N°11

N°12: Trouver le poète auteur des phrases proposées par Henri cinq messages plus haut:
Fleur sans odeur, tel du marbre. Ce n'est ni de l'encens ni du jasmin mais en pousse-t-il sur saturne ?

Amicalement.