Presentation Dan
Posté : lun. 9 juil. 2012 13:40
Bonjour à vous, botaniste de tous bords, confirmés, amateurs, ou simples curieux éblouis par la richesse du monde végétal.
Passer par une minute de présentation, me parait souhaitables. Cela permet au uns et au autres de saisir et de se comprendre mieux.
Alors, pour me situer, je dois dire que je ne m'intéresse qu'au genre salix le sujet est vaste et ardu. Cet intérêt devenu passion, est en rapport avec l'usage des saules en vannerie et à la réalisation d'un ouvrage sur la biologie des saules et l'osiériculture.
La détermination des saules repose sur de nombreux caractères morphologiques externe et internes / ça on le sait déjà me dira coco.
En général, les premiers suffisent à déterminer sans se tromper, les espèces autochtones, peu nombreuses.
Sans entrer dans les méandres de la biologie des salicacées (peut être devrais-je écrire Salicaceaes, pour ne pas me faire allumer) on peut retenir que la stabilité des caractères externes, pour ne citer que ces derniers, est fluctuante, au plan intraspécifique même (ce qui est peut être aussi le cas dans d'autres genres, mais ça je l'ignore).
Coté saules, les caractères les plus fiables se retrouvent dans les organes floraux mâles et beaucoup plus encore dans les fleurs femelles.
Les très nombreux hybrides naturels, compliquent souvent les déterminations.
L'a préparation et l'examen de coupes de tiges et de feuilles, permet d'aller beaucoup plus loin…
Et là la passion devient franchement pathologique…
Ci-dessous la fraise à Dan, devant une oseraie, où sont rassemblés et conservés plus de quatre vingt espèces et hybrides de saules.
Passer par une minute de présentation, me parait souhaitables. Cela permet au uns et au autres de saisir et de se comprendre mieux.
Alors, pour me situer, je dois dire que je ne m'intéresse qu'au genre salix le sujet est vaste et ardu. Cet intérêt devenu passion, est en rapport avec l'usage des saules en vannerie et à la réalisation d'un ouvrage sur la biologie des saules et l'osiériculture.
La détermination des saules repose sur de nombreux caractères morphologiques externe et internes / ça on le sait déjà me dira coco.
En général, les premiers suffisent à déterminer sans se tromper, les espèces autochtones, peu nombreuses.
Sans entrer dans les méandres de la biologie des salicacées (peut être devrais-je écrire Salicaceaes, pour ne pas me faire allumer) on peut retenir que la stabilité des caractères externes, pour ne citer que ces derniers, est fluctuante, au plan intraspécifique même (ce qui est peut être aussi le cas dans d'autres genres, mais ça je l'ignore).
Coté saules, les caractères les plus fiables se retrouvent dans les organes floraux mâles et beaucoup plus encore dans les fleurs femelles.
Les très nombreux hybrides naturels, compliquent souvent les déterminations.
L'a préparation et l'examen de coupes de tiges et de feuilles, permet d'aller beaucoup plus loin…
Et là la passion devient franchement pathologique…
Ci-dessous la fraise à Dan, devant une oseraie, où sont rassemblés et conservés plus de quatre vingt espèces et hybrides de saules.