Bonsoir Bernadette,
Partager, c'est précisément ce que je fais en soumettant mes trouvailles trop ardues pour moi.
Donc, je fais appel à plus spécialisé que moi, tout en ayant conscience que "spécialiste" ne signifie pas "professionnel".
La rubrique est bien intitulée "détermination" me semble-t-il ?
En sus, mon message se voulait convivial, nullement élitiste, et en parfait accord avec ma perception de l'état d'esprit des membres.
Bref, votre réaction me surprend et, même si je veux bien croire que là n'était nullement le but poursuivi, ne vous en déplaise, je la considère comme déplacée.
Nous ne sommes donc pas d'accord, ce n'est pas grave, la richesse naît des différences. Vous vous en remettrez, et moi aussi.
Convenons tout de même qu'il y a des choses bien plus graves sur terre.
Merci néanmoins pour le filon des spéciali...oups ! Pardon, je ne le ferai plus

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Revenons-en à la question initale, la seule en définitive recelant une certaine, quoique toute aussi relative, importance.
Ludo, merci d'avoir risqué le coup, mais je reste dubitatif.
Le guide de Pierre Delforge ne connaît pas O. virescens, pas plus que l'ouvrage de la société française d'orchidophilie (Parthènope collection, Paris, 1998) ni même le site web Tela-botanica.
Sur ce dernier site, O. aranifera (présent dans le dépt 05) n'est visiblement pas synonyme d'O. sphegodes signalé quasiment partout en France.
Peut-être m'évoques-tu une sous espèce ? J'imagine que tu ne sors pas ce nom de nulle part ; peux-tu m'en écrire un peu plus ?
Je rechigne à suivre le conseil de Bernadette justement pour cette question de nomenclature à géométrie variable, soupe dans laquelle les orchidophiles
"professionnels ou presque" se plaisent à nager et où le simple amateur comme moi y perd son latin (au sens propre). Par ailleurs, je me méfie aussi des collectionneurs. C'est un sujet que nous connaissons tous ; même s'il faut se garder de généraliser, il suffit d'un seul...
Il y a des énigmes qui ne seront jamais résolues, peut-être sommes-nous devant l'une d'elles.
Le tout est de tâcher de se retrouver avec le moins d'alternatives possibles.
J'ai soumis le cas au département botanique de l'Université de Liège et le cas leur semble bien complexe. Dès l'obtention d'une réponse, je la partagerai illico.
A bientôt donc.
Luc