FORUM DE BOTANIQUE

Il reste encore une dizaine d'espèces du troisième volet à nommer.

Je laisse quelques jours supplémentaires aux amateurs pour les retrouver.

mes propositions :

Gentiana orbicularis

Silene vallesia

Melica nutans

Campanula barbata

Sedum acre

Minuartia laricifolia

Saxifraga aspera

Gentiana burseri subsp. villarsii

Micranthes stellaris

Coronilla varia

bleuette a écrit : ↑dim. 2 janv. 2022 20:11 mes propositions :

Gentiana orbicularis

Silene vallesia

Melica nutans

Campanula barbata

Sedum acre

Minuartia laricifolia

Saxifraga aspera

Gentiana burseri subsp. villarsii

Micranthes stellaris

Coronilla varia

C'est presque parfait , sauf pour la 43 qui est un orpin avec des feuilles plus allongées et moins triangulaires et la 47, qui n'est pas une saxifrage de zone humide.

saxifraga umbrosa pour la 47 , mais je trouve ca trop facile, mais c'est celle que je croise souvent a l'ombre et impossible a photographieer

Sedum alpestre ? et Saxifraga cuneifolia

Karaba a écrit : ↑lun. 3 janv. 2022 18:55 Sedum alpestre ? et Saxifraga cuneifolia

Il s'agit effectivement des deux dernières à trouver.

Voici le quatrième et dernier volet du séjour estival dans le Queyras, avec encore quelques espèces dont il faut retrouver les noms.

Celle-ci est très localisée, en bord de routes:



51. Ligustrum vulgare

Une petite espèce blottie dans l'herbe:



52. Euphrasia hirtella
Loin de tout sentier, dans des prairies non encore visitées cette années par les ovins, une forte suspicion de loup:



Dans une ambiance glaciale et sous un ciel plombé, visite d'une des crêtes frontalières les plus isolées du Queyras pour le seul plaisir de s'y incliner devant le seul site de sa majesté:



53. Eritrichum nanum
Cette espèce est peu commune dans le Queyras:



54. Cruciata glabra
Un peu plus loin, une espèce poussant en grand nombre:



55. Tephroseris integrifolia subsp. capitata
Un site idéal épargné par la pollution lumineuse, les villages queyrassins éteignant l'éclairage une bonne partie de la nuit, pour observer les étoiles (en tout cas quand la météo est clémente):



Une belle rencontre pas encore épanouie dans une saulaie raide et peu praticable:



56. Pyrola rotundifolia
Cela faisait plusieurs années que je cherchais en vain à photographier cette espèce aux feuilles caractéristiques en fleurs, mais trop tardive pour moi:



57. Hylotelepium anacampseros

Le goût pour les terrains scabreux sans sentier permet parfois de faire des rencontres étonnantes:



58. Alyssoides utriculata
Du Mont Ruine, on peut voir de près l'austère face ouest du Mont Viso:



Un peu plus bas, celui-ci dispose du lac de Clot Sablé en guise de miroir:




Une espèce miniature, pas toujours facile à déterminer:



59. Gnaphalium hoppeanum
Cette espèce est propre aux rochers humides du haut Guil:



60. Micranthes stellaris
La présence de celle-ci est limitée dans le Queyras aux abords d'un seul hameau:



61. Cirsium heterophyllum
J'ai longtemps négligé l'anonyme et peu touristique vallon de Peynin, mais depuis que je l'ai découvert il est devenu pour moi un incontournable, car il est celui qui offre la plus grande diversité de fleurs. La preuve encore cette année avec une découverte surprenante:



62. Fumaria vaillantii



Pour les amateurs, il est même possible d'y faire ses récoltes:





Le vallon de Peynin depuis le pic du Fond de Peynin, orné de son cairn sommital:




De l'autre côté, le vallon de Ségure avec ses deux lacs:




Pour meubler une matinée avant un passage en Italie, j'opte pour une modeste balade de découverte du versant thermophile au nord de Château-Queyras. Celui-ci se révèle encore bien plus sec que je ne l'avais envisagé, avec une pinède sylvestre au sol presque totalement dénudé. J'y ai néanmoins débusqué quelques espèces inconnues:



63. Melica ciliata


64. Onobrychis saxatilis


65. Allium oleraceum
Au passage, on obtient une belle vue sur Fort Queyras:



Une autre espèce découverte dans les sous-bois au pied du fort:



66. Actaea spicata
Je retrouve ensuite en Italie dans le val Varaita une espèce poussant sur des murets de pierre que je ne connais que sur ce site:



67. Sedum alsinifolium
Pour une fois exceptionnelle cette année que les nuages ont décidé de céder la place au ciel bleu, ils ont été remplacés par une brume qui estompe le paysage:




Il n'est encore que huit heures du matin, et déjà la nebbia italienne est partie à l'assaut des sommets:



Malgré l'austérité minérale des lieux, il est encore possible de trouver des fleurs à plus de trois mille six cents mètres d'altitude:



68. Androsace alpina

Un peu plus bas, un parapentiste audacieux s'est élancé depuis la pointe Trieste du Mont Viso:



Le vallon peu verdoyant, mais accueillant des Forciollines grâce à son bivouac quatre étoiles:



Dans le Queyras, les nécrophages réinstallés sont devenus omniprésents depuis quelques années:




La cousine de la 54, mais bien plus rare que cette dernière:



69. Tephroseris integrifolia subsp. integrifolia
Peu avant le départ, une dernière surprise m'attend à proximité de la Goodyère:




70. Scrophularia nodosa


Et pour conclure ce séjour fleuri, un résumé de la météo:

Une petite contribution avec mes connaissances
52-Euphrasia hirtella
62-Fumaria capreolata

hello,
la 70 ressemble bien à Scrophularia nodosa, à confirmer si tu as une vue du staminode

51 Ligustrum vulgare
52 une euphraise
53 le petit roi des Alpes, Erytrichum nanum
54 une Cruciata, glabra ?
55 Tephroseris integrifolia subsp. capitata
56 une Pyrole
57 Hylotelepium anacampseros
58 une brassicaceae
59 un Gnaphale
60 Micranthes stellaris
61 Rhaponticum scariosum
65 Allium oleraceum
66 Actaea spicata
67 Sedum fragrans (j'ai eu du mal à le resituer, je l'avais vu en vallée de la Roya)
68 une Androsace
69 avec l'indice Tephroseris integrifolia subsp. integrifolia