Re: Lamiacée ?
Posté : mar. 20 juil. 2010 18:12
Bonjour à tous,
Je ne pensais pas que mes photos allaient déclencher à nouveau la polémique classique sur le thème "pour identifier et recenser les plantes, faut-il prélever des spécimens dans la nature ou se contenter de les photographier ?"
Tout d'abord une précision : ces photos n'ont pas été réalisées avec un appareil photo "classique" mais avec un scanner à plat de bonne résolution. C'est un outil très pratique, même s'il donne aux images ce petit côté artificiel qui a été détecté par certains. Avec un scanner actuel on peut atteindre des résolutions très importantes et sans avoir à se préoccuper de l'immobilité parfaite des spécimens, condition pas toujours facile à obtenir in situ.
Je précise également que je suis en train de constituer un herbier de la flore de mon petit coin de Bretagne en double exemplaire. D'une part un herbier traditionnel, avec des spécimens séchés et d'autre part un herbier virtuel en ligne, avec des photos de ces spécimens, sur le terrain avec un APN (appareil photo numérique) ou à la maison, au scanner à plat ou avec l'APN. Je pourrais certes me contenter de cet herbier en ligne, illustré de photos prises sur le terrain mais... plusieurs raisons pour ne pas m'en contenter. Lors de mes randonnées à pied ou à vélo je n'ai pas ma flore sur moi, et pas toujours mon matériel photo, donc le prélèvement me permet de faire scans et identification à la maison. Ensuite, l'herbier de spécimens séchés procure une référence bien plus précise que les photos, en cas de consultation ultérieure.
Pour en revenir à l'identification, vérification faite, je retiens définitivement Clinopodium vulgare proposé par Olivier G. (que je remercie).
J'ajoute pour terminer que j'utilise souvent le Guide des plantes de la K.U.Leuven (Belgique) dont j'admire l'extraordinaire qualité des photographies. J'aimerais pouvoir en faire autant, un jour... Je pense que ces photos illustrent bien le propos de Juventino et Chantaloup sur l'intérêt de voir l'environnement des plantes pour leur identification.
Cordialement,
Joseph
Je ne pensais pas que mes photos allaient déclencher à nouveau la polémique classique sur le thème "pour identifier et recenser les plantes, faut-il prélever des spécimens dans la nature ou se contenter de les photographier ?"
Tout d'abord une précision : ces photos n'ont pas été réalisées avec un appareil photo "classique" mais avec un scanner à plat de bonne résolution. C'est un outil très pratique, même s'il donne aux images ce petit côté artificiel qui a été détecté par certains. Avec un scanner actuel on peut atteindre des résolutions très importantes et sans avoir à se préoccuper de l'immobilité parfaite des spécimens, condition pas toujours facile à obtenir in situ.
Je précise également que je suis en train de constituer un herbier de la flore de mon petit coin de Bretagne en double exemplaire. D'une part un herbier traditionnel, avec des spécimens séchés et d'autre part un herbier virtuel en ligne, avec des photos de ces spécimens, sur le terrain avec un APN (appareil photo numérique) ou à la maison, au scanner à plat ou avec l'APN. Je pourrais certes me contenter de cet herbier en ligne, illustré de photos prises sur le terrain mais... plusieurs raisons pour ne pas m'en contenter. Lors de mes randonnées à pied ou à vélo je n'ai pas ma flore sur moi, et pas toujours mon matériel photo, donc le prélèvement me permet de faire scans et identification à la maison. Ensuite, l'herbier de spécimens séchés procure une référence bien plus précise que les photos, en cas de consultation ultérieure.
Pour en revenir à l'identification, vérification faite, je retiens définitivement Clinopodium vulgare proposé par Olivier G. (que je remercie).
J'ajoute pour terminer que j'utilise souvent le Guide des plantes de la K.U.Leuven (Belgique) dont j'admire l'extraordinaire qualité des photographies. J'aimerais pouvoir en faire autant, un jour... Je pense que ces photos illustrent bien le propos de Juventino et Chantaloup sur l'intérêt de voir l'environnement des plantes pour leur identification.
Cordialement,
Joseph